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Note : P5X355FL <p>"</p> <ol class="texte" style="box-sizing: border-box; margin: 0.2em 0px 0px 1.5em; padding: 0px; list-style: decimal; text-align: left; color: #353535; font-family: 'Lucida Sans Unicode', 'Lucida Grande', 'Lucida Sans', sans-serif; font-size: 14.004px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial;"> <li style="box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; font-size: 0.929em;">Quels sont les produits caractéristiques de l’activité scientifique ?</li> <li style="box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; font-size: 0.929em;">Quels sont les acteurs qui contribuent à cette production ? De quelles compétences doivent-ils être dotés pour mener à bien cette activité ?</li> <li style="box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; font-size: 0.929em;">Comment expliquer le caractère ininterrompu et éventuellement cumulatif de l’activité scientifique ?</li> <li style="box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; font-size: 0.929em;">Comment l’accord sur les connaissances produites est-il obtenu ?</li> <li style="box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; font-size: 0.929em;">Quelle est la forme d’organisation requise par l’activité scientifique ? (il peut s’agir de l’organisation interne aussi bien que de l’organisation des rapports entre science et société.)</li> <li style="box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; font-size: 0.929em;">À quelle dynamique d’ensemble, à la fois sociale, politique, culturelle et économique, contribue le développement scientifique ?</li> </ol> <p>" <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">§</span> 4</p>
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Note : GEMHQSUY <p>"<span style="color: #353535; font-family: 'Lucida Sans Unicode', 'Lucida Grande', 'Lucida Sans', sans-serif; font-size: 14.004px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: justify; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">J’ai finalement choisi de retenir quatre modèles. Chacun d’entre eux met en avant un problème central. Le premier est celui de la science comme savoir rationnel et son objet est de mettre en évidence ce qui distingue la science des autres formes de savoir pour expliquer l’accès privilégié au réel qu’elle fournit. Le second est celui de la science comme activité concurrentielle ; le souci principal est celui de la forme organisationnelle qui permet à la science d’exister et de se développer. Le troisième est le modèle socioculturel : la réponse à la question de la spécificité de la science est recherchée du côté des pratiques et plus particulièrement des savoirs tacites qu’elles mettent en œuvre. Le quatrième modèle, celui de la traduction élargie, tente de montrer comment est produite la robustesse des énoncés scientifiques et comment est simultanément créé l’espace de circulation de ces énoncés.</span>" <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">§</span> 6</p>
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Note : 2M6A2RSV <p>"Il est généralement reconnu qu’il est impossible (contrairement à ce que pouvaient prétendre certains membres du cercle de Vienne), de passer d’un type d’énoncé à un autre par le seul recours à la logique [Grünbaum et Salmon, 1988] : les termes théoriques ne peuvent être sémantiquement réduits à des termes observables." <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">§</span> 16</p>
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Note : TMYTQZXC <p>"Les métaphores et le flou qu’elles introduisent, les notions ambivalentes et les ambiguïtés qu’elles suscitent ne sont pas à écarter mais à encourager au moins dans une certaine mesure [Cartwright, 1983]. Dans ces circonstances, il est possible de tester des prédictions empiriques dérivées d’énoncés théoriques ou de décider si une théorie rend mieux compte qu’une autre d’un ensemble d’observations." <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">§</span> 18</p>
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Note : TMGEWPPB <p class="western">« <span style="font-variant: normal;"><span style="color: #353535;"><span style="font-family: Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, Lucida Sans, sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="letter-spacing: normal;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">Les compétences des chercheurs sont sensorielles et cognitives. Le scientifique doit être capable d’articuler des énoncés qui intègrent ses observations. Il est ainsi dépendant de ses cinq sens et particulièrement de la vue (l’observation est toujours mentionnée). Le scientifique doit être également capable d’imaginer des énoncés qui ne sont pas directement liés à l’observation et d’introduire entre eux des traductions. Des auteurs comme Holton et Hesse7 soulignent sa capacité à produire des métaphores et des analogies. » </span></span></span></span></span></span></span><span style="font-variant: normal;"><span style="color: #222222;"><span style="font-family: arial, sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="letter-spacing: normal;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">§</span></span></span></span></span></span></span> <span style="font-variant: normal;"><span style="color: #353535;"><span style="font-family: Lucida Sans Unicode, Lucida Grande, Lucida Sans, sans-serif;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="letter-spacing: normal;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">21</span></span></span></span></span></span></span></p>
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Note : E9WAF24C <p class="western">« Le scientifique est prisonnier d’une double injonction : il doit imaginer, concevoir et produire sans relâche un nombre croissant d’énoncés qu’il doit soumettre simultanément à la critique impitoyable des collègues. » § 24</p>
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Note : T98IK9UL <p>"Science sans référence n’est que fiction." <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">§</span> 31</p>
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Note : KKNQ984C <p class="western">« Les scientifiques ne se contentent pas de lire le grand livre de la Nature ; ils le déchiffrent, le décodent, le transcrivent, le traduisent en une foule d’énoncés inscrits dans des argumentations qui se coulent dans des récits. Mettre l’univers en mots est la tâche essentielle du scientifique. » § 35</p>
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Note : 8DR5RDAS <p class="western">« c’est aux scientifiques et à eux seuls que revient l’écrasante tâche d’organiser le dialogue avec la Nature en tissant inlassablement le filet des énoncés pour en resserrer la maille » § 37</p>
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Note : 7R8NCNV5 <p class="western">« Chaque traduction nouvelle produit un écart par rapport aux traductions antérieures qu’elle menace. L’hypothèse du modèle de la traduction est simple : le monde est peuplé d’actants, qui ont été construits par les traductions antérieures et qui sont eux-mêmes engagés dans des traductions nouvelles qui accroissent les risques et les occasions de divergence. » § 120</p>
- Analogie, évolution scientifique et réseaux complexes
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Towards a Query Language for the Web of Data (A Vision Paper)
- La Connaissance de la vie
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Conclusion - Vers un réseau de réseaux ?
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Approche écologique des environnements instrumentés : comprendre le phénomène d’affordance socioculturelle
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Note : PBTFMF4Z <p>"Dans cette perspective, la compréhension des phénomènes écologiques s’explique en termes de relations considérant que les composants peuvent agir les uns avec les autres mais aussi les uns sur les autres. À la différence d’une approche systémique, le principe central de l’approche écologique consiste à identifier, pour les humains, les raisons et conditions pour lesquelles ses relations sont possibles et transforment les propriétés de l’environnement pour offrir de nouvelles possibilités (Haeckel, 1870 ; Möbius, 1877)." § 4</p>
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Note : XCL36KGA <p>"Nous parlons d’écosystème étant donné qu’il s’agit d’étudier la configuration favorable pour un être vivant à son développement (professionnel ou d’apprentissage) à partir de la réalisation totale, ou partielle, d’un but plus ou moins imposé à un sujet. La réalisation de ce but impliquant des processus de conceptualisation sur son rapport à l’environnement étant donné que le rapport d’un sujet à un environnement est lié à son propre rapport au monde, mettant en jeu la compréhension de l’environnement dans lequel il vit et agit, le conduisant même à se questionner plus directement sur les conditions qui lui permettent de faire partie d’une histoire collective (« on », « nous ») dans laquelle la compréhension est, pour partie, singulière (« je »)." § 7</p>
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Note : 68U4V935 <p>"La frontière est donc, en fait, doublement, une zone d’empiétement : par son caractère d’objet fractal et la relativisation de sa topologie propre à l’échelle de représentation choisie ; par les luttes qui la traversent et, parfois, en déplacent le tracé." § 15</p>
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Note : LEKCN9X2 <p>"This section concerns the development of a scientific concept – the ecosystem. Metaphorically speaking, its development has a life history. There was an exact moment of birth: when the English ecologist Arthur Tansley created the word and presented it in a technical paper [Tansley, 1935]. Seven years later the term was applied in one of the most significant studies in modern ecology, the study of the trophic dynamics of Cedar Bog Lake, Minnesota, by Raymond Lindeman [Lindeman, 1942]. The Lindeman work ushered in a period of growing interest in ecosystem studies. In the discourse of this research, our view of the ecosystem is based on the abstract definition that an ecosystem is classified by biotic and abiotic components and all their interrelationships in specified physical boundaries [De Groot et al., 2002]." p. 11</p>
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Note : HMPP7A6Q <p>"There are two major opinions when it comes to defining DE. One is defined from the structural and functional perspective, which sees Digital Ecosystem as an open-source network environment for business mainly including small and medium enterprises to interact with others in an effective and efficient way [Ferronato, 2004]. Another one is defined by Digital Ecosystem and Business Intelligence Institute (DEBII) from the perspective of specialization, which sees it as “an open, loosely coupled, domain clustered, demand-driven, self-organizing, and agent-based environment which each species is proactive and responsive for its own benefit and profit” [Chang and West, 2006]." p. 12</p>
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Note : TG99P4TF <p>"According to [Davies et al., 2013], a learning ecosystem was formed by different communities interacting within and between individuals and groups, other key aspects (environment as well as tools and artifacts) are addressed implicitly." p. 14</p>
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Note : G3XRG9EH <p>"We can summarize the limitations facing DE with the following three points:</p> <p>• The inability to add an already existing system to the DE unless it is designed to work in its digital environment.</p> <p>• The lack of communication interface to allow for interactions between different DEs.</p> <p>• There is no methodology to organize the resources produced by different systems in the DE." p. 15</p>
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Note : RAC8J4XT <p>"In order to identify the commonalities and differences between the two notions we note:</p> <p>• Both DE and SoS are compositions of simpler systems.</p> <p>• Both DE and SoS are embedded in an environment of a larger scale.</p> <p>• The constituent systems in DE do not have their independent goal, they are not autonomous and their behavior is subject to the rules of the interconnection topology.</p> <p>• The interconnection rule in DE is expressed as a graph topology.</p> <p>• The constituent systems in SoS may have their own goals and they are autonomous, semi-autonomous, or organized as autonomous groupings of composite systems.</p> <p>• There may be a connection rule expressed as a graph topology for the information structures of the constituent systems in a SoS.</p> <p>• The SoS is linked to an environment where every constituent system enters as an agent with their individual Operational Set, Goals." p. 21</p>
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Le numérique comme milieu : enjeux épistémologiques et phénoménologiques. : Principes pour une science des données
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Note : 6BFETL2L <p>"En conclusion, il s’agit d’apprendre à lire ces mégadonnées selon de nouvelles pratiques à dégager : de même que Ben Schneidermann avait popularisé dans l’univers des interfaces numériques le slogan « global and zoom » (Bederman and Schneidermann, 2003), un axe d’étude des mégadonnées est de construire une composition lectoriale du global et du local : la singularité herméneutique abordée au sein de la globalité calculée et restituée dans des visualisations graphiques."</p>