Zotero
Collection
Contenus
- L’usage des diagrammes dans les partitions musicales : du graphique au conceptuel pour une potentialité du geste
- Prétopologie et protection de la vie privée dans l’Internet des Objets
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Note : 2U6PMMBB <p>tes </p>
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Note : 8GK8QVBF <p>test </p>
- Une écologie des relations
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Interactions et communications contextuelles dans les environnements informatiques pour l'apprentissage humain
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Culture de l'information, culture de l'image et culture par l'image dans l'enseignement secondaire
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Note : HGS5Y7SH <p>"Bertram Claude Brookes, en 1980, pose « l’équation fondamentale » de la relation entre information et connaissance ainsi : K(S)+∆I =K(S+∆S) où la structure de la connaissance K(S) est changée en une nouvelle structure K(S+∆S) par l’information ∆I. ∆S caractérise donc l’effet de la modification (Le Coadic, 1994)."p. 26</p>
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Note : TWMXZIEX <p>"Nous proposons cette simplification de l’équation dans un premier temps :</p> <p>C+∆C = C’ C : exprime l’état des connaissances</p> <p>C’ : un nouvel état de la connaissance par ∆C</p> <p>∆C : l’apport d’une connaissance extraite d’une information.</p> <p>Pour l’image nous pourrions penser que : C+∆CI = C’I</p> <p>∆CI : un nouvel état de connaissance amenée grâce à l’image ou un nouveau stock d’images compris dans une somme de livres.</p> <p>L’équation fondamentale pour la relation entre information image et connaissance image pourrait-être : C(S) +∆CI = C(S+∆CI)" p. 27</p>
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Fifty years of scientific and technical information policy in France (1955-2005)
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Qu'est-ce qui fait SCIENCE dans SCIENCE de l'INFORMATION ?
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N(OMBRE) ou LUMIERE - usage des Xmètries en science de l'information et en science de la communication
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Note : P9K3EIXU <p>"Le facteur d'impact <em>If </em>d'une revue scientifique mesure la fréquence avec laquelle, pendant une année donnée, l'article "moyen" d'une revue est cité dans les articles d'autres revues. C'est le rapport entre le nombre de citations reçues par une revue pendant une année et le nombre d'articles publiés pendant les deux années précédentes" p. 7</p>
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Infométrie mathématique et Infométrie statistique
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Four essays on the axiomatic method : cooperative game theory and scientometrics
- Les humanités numériques : Une histoire critique
- Introduction aux humanités numériques : méthodes et pratiques
- Savoirs locaux en situation: Retour sur une notion plurielle et dynamique
- Qu'arrive-t-il à notre planète ?
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Note : 4Z3CXICW <p>"Un triple <em>topos</em> structure la littérature mathématique au seuil des Temps modernes. Le premier est sont caractère toujours à la fois théorique <em>et</em> pratique qui s'ouvre sur une nouvelle référence à la justice. [...] de ce point de vue pratique, qui consiste avant tout dans une série de techniques liées à la tenue du livre de comptes, s'impose clairement l'idéal d'une exhaustivité de l'écriture comptable, à laquelle aucun détail ne doit échapper, de manière à ce que tout reste disponible. Aucun espace vide[...] c'est parce que, comme pratique, les comptes permettent une représentation du tout à partir de la somme des ses parties - un tout ainsi définitivement donné puisque ses limites en sont concrètement connues - qu'ils peuvent faire oeuvre de justice." p. 48</p> <p> </p>
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Note : GNFR2X6N <p>"En disant que la théorie des ensembles constitue une référence absolue, je suppose que le cas des ensembles est, sur le fond, identique au cas des nombres réels, c'est-à-dire qu'il existe un système d'axiome, non encore complètement découvert, qui identifie l'univers V, lieu où sont pensables tous les ensembles, donc toutes les formes possibles de l'être, et lui seul." p. 68</p>
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Note : C44Y3ZL5 <p>"C'est ici que nous pourrions dire avec Hegel que, venant à être en un lieu, le multiple pur s'absout de son absoluité. Encore faut-il, pour s'en absoudre, que l'absoluité soit." p. 70</p>
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Note : FVZJVTDG <p>"Or le génie propre des mathématiques est précisément, à mon sens, de pouvoir affirmer qu'existe un "objet" dont on ne connait que la définition, y compris quand cette définition ne permet pas de savoir comment construire cet objet. L'existence est alors <em>risquée</em>, cela est certain. Mais ce risque concerne seulement l'éventuelle apparition d'une contradiction entraînée par l'affirmation d'existence." p. 71</p>
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Note : UPD6BME8 <p>"La réponse est la suivante : <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">∅</span> est une partie de tout ensemble. Pourquoi ? Parce que rien ne l'en empêche. Pour qu'un ensemble ne soit pas une partie d'un autre ensemble, il faut qu'il ait au moins un élément qui n'est pas élément de cet autre. Mais le vide, <span style="color: #222222; font-family: arial, sans-serif; font-size: 16px; font-style: normal; font-variant-ligatures: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; orphans: 2; text-align: left; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; widows: 2; word-spacing: 0px; -webkit-text-stroke-width: 0px; background-color: #ffffff; text-decoration-style: initial; text-decoration-color: initial; display: inline !important; float: none;">∅</span>, n'a aucun élément. Il ne peut donc pas de pas être partie d'un ensemble donné quelquconque." p. 56</p>
- Penser la communication